Les réunions de filles de Sally Hayworth

Catégories : Lesbiennes bondage SM entre filles calins fist kiss
il y a 10 ans

Auteur Scilly Malguyine

Comme à l'accoutumée Sally avait, invité "ses filles" chez elle, officiellement c'était pour les familiariser avec la nouvelle collection et leur remettre leurs étrennes, en pratique toutes les "anciennes" savaient à quoi s'en tenir..........Elles avaient naturellement donné leur accord et n'auraient pour rien au monde manqué cette réunion qui promettaient d'être délicieuse, comme d'habitude. Les parents de Sridanjali qui hébergeaient encore naturellement leur fille et la surveillaient étroitement, avaient été un peu plus difficiles à convaincre. Présentée habilement par la directrice comme étant une prolongation du travail, la réunion exclusivement féminine avaient été finalement cceptée par les rigoureux parents. Miss Hayworth avait assuré qu'elle raccompagnerait elle-même, la jeune fille, service qu'elle rendait déjà à deux autres de ses employées qui habitaient aussi encore dans leur famille.

Cela avait finit par emporter la décision. Le père de Sridanjali, musulman convaincu et militant, n'avait accepté que sa fille ne travaille dans cette boutique que parce qu'elle était fréquenté presque exclusivement par une clientèle féminine et que la directrice lui avait certifié que la jeune fille ne serait jamais en contact avec des hommes. Quand sa fille lui avait, comme c'est l'usage, l'intégralité de son salaire à la fin de la semaine, ses derniers scrupules s'étaient envolés.

La somme était coquette et tombait à point nommé pour compléter les revenus familiaux. Sridanjali heureuse de voir du monde et de sortir de son milieu familial forcément un peu étouffant, ne se faisait pas prier pour aller au travail. La directrice, quoique exigeante, faisait preuve de beaucoup "d'attentions" et de compréhension pour ses employées qui ne s'en plaignaient pas. La jeune fille d'origine pakistanaise d'un naturel plutôt timide et réservé n'avait pas encore tissé de liens très étroits avec ses collègues de travail mais elle obéissait docilement à sa patronne dont elle s'employait à suivre scrupuleusement les directives. Elle était habituée depuis l'enfance à recevoir des ordres et à servir, elle n'éprouvait donc aucune difficulté à se soumettre.

Dès leur arrivée, les "anciennes" investirent le petit salon dans lequel elles avaient l'habitude de revêtir leur tenue. Bientôt la petite pièce fut transformée en une ruche bourdonnante ou sous-vêtements et corps juvéniles à moitié nus, s'appariaient à qui mieux-mieux. Jane en sa qualité de "jeune doyenne" commença la présentation avec un joli petit coordonné rouge et noir, parfaitement mis en valeur par sa peau impeccablement blanche. Molly exposa ensuite ses courbes généreuses, dans un ensemble vert foncé dont la fine dentelle semblait avoir parfois du mal à contenir les rondeurs roses dont elles avaient la précieuse garde. Felicity avait elle, opté pour un minuscule ensemble à petits carreaux blancs et bleu ciel avec de petit nœuds de satin bleu marine, dont la coupe s'adressait visiblement à un public très jeune.

Elle paraissait tout juste quinze ans avec sa silhouette encore puérile. Kyombele avait choisit elle un soutien-gorge et une petite culotte d'un style très classique dont la couleur rose saumonée était parfaitement en accord avec sa peau d'ébène. Sridanjali avait beaucoup hésité. Elle craignait de se montrer "en petite tenue" même si elle était partiellement rassurée par une assistance exclusivement féminine. Elle avait finit par porter son choix sur une tenue qui limitait autant que possible son exposition. L'ensemble était d'une blancheur immaculée bien adaptée à sa peau brune. Il était constitué d'une culotte en forme de short, descendant sur ses cuisses fuselées et d'un bustier richement brodé. Ce genre de sous-vêtements est souvent porté par des filles un peu fortes, ce qui n'était pas le cas de la jeune fille d'origine pakistanaise, mais celle-ci voulait ménager autant que possible sa pudeur. Sally contemplait "ses filles" avec un émerveillement toujours renouvelé.

Elle les félicita chaleureusement pour leurs choix judicieux et leur remis à chacune un paquet-cadeau qui contenait la tenue qu'elle souhaitait leur voir porter à présent. Elles allèrent aussitôt se changer dans le salon aménagé à cet effet .bien que l'on soit en plein mois de janvier, le chauffage généreusement distribué autorisait les tenues très succinctes que les filles portaient. Cela contribuait à échauffer les esprits déjà excités par le contexte de presque nudité dans lequel tout ce beau monde évoluait. Seule Sridanjali très pudique et encore peu habituée à ce genre de réunion, était encore un peu gênée de se montrer ainsi. Elle rougit encore davantage en ouvrant son colis. Il contenait un magnifique ensemble "très sexy"

La couleur largement dominante était un bleu très pâle, très tendre qui irait bien sûr à merveille avec la peau mate de la bénéficiaire, mais la matière, un tulle très léger et totalement transparent allait découvrir complètement son intimité. Son pubis glabre, car rasé de près allait ainsi être révélé sans presque de voile, aux yeux de toutes. La coupe très échancrée et la fixation des pièce par de simples nœuds de rubans de satin très mince allait aussi contribuer à la dénuder presque complètement. Felity disposait d'un modèle très semblable de couleur bleu marine qui laissait transparaître sa petite toison blonde très pâle qu'elle arborrait sans aucun complexe. La plus jeune de la bande, avec un délicieux sourire intimidé se mit en devoir de revêtir les sous-vêtements que sa directrice avait choisi pour elle. Il était hors de question de la décevoir et de paraître ridicule.

Elles défilèrent donc dans leur très succincte tenues. La petite d'origine pakistanaise, avait une délicieuse rougeur qui ornait ses joues ce qui, ajouté à sa gaucherie de débutante lui donnait un charme irrésistible. Sally donna à chacune ensuite une courte veste de soie assortie, bleu ciel pour les brune, bleu marine pour celles qui disposaient d'une pillosité plus claire. Le vêtement très court ne fermait qu'à l'aide d'un cordon assorti. Cela laissait admirer leur décolleté très ouvert et laissait leur cuisses nues sur leur plus grande partie ce qui bien sûr était des plus agréables.

Ce fut bientôt, ce que tout le monde s'accorda à considérer comme "l'heure du thé". Sallly avait préparé largement tous le nécessaire : savoureux scones avec beurre un peu salée, crème fraîche, confiture de fraises, délicieux cakes riches en saveur épicées (ginger cake, apple pie, crumbles etc..) Les arômes de vanille et de pomme se mélangeaient subtilement à ceux de la canelle, du gingembre et du chocolat noir Des liqueurs richement fruitées vinrent compléter le petit festin, cerise poire ou mandarine exhalaient leur parfum sublimé par l'acool. La jeune musulmane mit en avant ses convictions religieuses pour refuser poliment les boissons alcoolisées que Kyombele et surtout Mokky semblaient en revanche apprécier.

Ces deux dernières échangèrent rapidement de langoureux baisers pour mieux se "goûter" tandis que comme d'habitude Jane, s'en prenait à Felicity qu'elle avait installée sur ses genoux et qui se faisait désirer, en refusant puis acceptant comme contrainte les caresses que sa brune aînées prétendait lui donner. La chaleur de l'ambiance, au propre comme au figuré, finit par faire tourner un peu la tête de la toute jeune fille. Sally, qui littéralement la "couvait sans cesse" des yeux s'approcha d'elle et la fit allonger sur un divan recouvert d'un fin et délicat velours. Elle lui donna gentiment l'ordre de prendre "un cordial" pour la "remonter" Sridanjali n'avait pas l'habitude de boire de l'alcool, et le liquide parfumé qui lui brûlait délicieusement la gorge, acheva surtout de lui faire "perdre ka tête" en générant un langoureuse détente dans tout son corps. Elle ferma les yeux. Elle sentait que deux mains fraîches merveilleusement attentionnées et habiles la caressaient à présent. Elle n'avait plus ni la force ni véritablement la volonté de s'opposer à leurs entreprises patientes mais déterminées.

Bientôt remontant le long des cuisses et se glissant sous les replis de soie, elles atteignirent enfin le ventre puis le sexe gonflés d'un désir croissant. Le mince string en voile, ultime et si ténu rempart, glissa bientôt, et elle souleva instinctivement les fesses tandis qu'une voix un peu rauque mais très tendre ne cessait de la rassurer. Elle sentit bientôt que des lèvres charnues, chaudes et mouillées, accompagnaient les caresses incessantes des mains, en butinant son pubis glabre. C'était délicieusement bon !. Quand une langue vint s'insinuer entre les lèvres de son sexe, prise de panique elle resserra instinctivement les cuisses en protestant, d'une voix faible et suppliante que l'on respecte sa précieuse virginité : bien familial et surtout paternel dont elle avait seulement la garde ! La voix tendre la rassura, tandis que la langue reprenait bientôt son délicat labeur.

Sridanjali n'avait jamais connu rien d'aussi bon et ne pu s'empêcher d'émettre de petits gémissements de plaisir, totalement incontrôlés Rapidement elle fut submergée par des vagues de jouissance intense et connut un orgasme fulgurant. Elle reprenait doucement ses esprits quand elle sentit qu'une bouche décidée s'emparait de la sienne. C'était celle de Molly qui, émue par tant de naïf plaisir exprimé, était venue à son tour honorer la toute jeune fille. Instinctivement, elle tendit les mains vers la poitrine généreuse de la rousse qui s'était mise à sa portée et entrepris de la caresser. Ce fut ensuite les fesses incroyablement fermes de Kyombele qu'elle récompensa à leur tour tandis que sa noire collègue s'activait entre ses cuisses, balayant son ventre avec ses multiples tresses "afros".

A partir de ce moment là, plus rien n'avait d'importance que l'intense plaisir donné et reçu. Comme un nourrison sans complexe, elle portait à sa bouche tout ce qu'on lui présentait, lèvres horizontales ou verticales tout était bon à lécher , à sucer à mordiller tendrement. Les effluves montant des toisons blondes, brunes ou rousses lui embaumaient les narines et la comblait, tout en faisant renaître le désir en vagues incessante. Sridanjali en un mo était divinement bien ! Elle partageait avec ses collègues et sa directrice de délicieux moments et instinctivement, elle savait qu'elle était adoptée avant même la fin de sa période d'essai.......

Le seul intermède fut le moment où, estimant que Felicity se montrait vraiment trop capricieuse, il fut décidé de lui donner une bonne correction. Sally la fit immobiliser par ses trois collègues qui ne demandait que ça puis livrer sur ses propres genoux. La blondinette se débattait comme un beau diable, sachant parfaitement que cela était inutile, mais cela faisait partie du jeu. Elle n'avait cessé de provoquer tout le monde dans ce but depuis le début de l'après-midi et n'avait qu'à s'en prendre à elle-même. Elle ne risquait, elle en était parfaitement consciente après tout, qu'une bonne fessée. Bientôt son adorable petit derrière fut exposé de manière à recevoir ce qu'il avait bien mérité. Sally qui était une femme d'expérience administra un châtiment parfaitement dosé jusqu'à ce que les cuisantes claques soient docilement acceptées.

La blondinette dut ensuite remercier humblement ses tortionnaires, en commençant par sa directrice. Elle s'acquitta de ses devoirs d'une langue parfaitement soumise, parcourue de sanglots mêlés à des frissons qui, eux devaient être liés au plaisir complexe qui occupait son âme tourmentée. Toujours est-il que ses collègues sans rancune, sitôt sa "pénitence" accomplie, la mêlèrent de nouveau à leurs jeux où elle participa avec enthousiasme mais soumission. Sridanjali, très surprise au début, comprit rapidement que la "victime", était parfaitement consentante. Elle éprouvait un désir un peu trouble, à voir sa blonde collègue contrainte ainsi. Elle devait admette aussi, qu'elle avait plus d'une fois éprouvé du plaisir à être corrigée, surtout par son père qui pourtant n'y allait pas de main morte, quand il lui administrait, le fouet devant sa mère et ses sœurs ! Elle comprenait donc parfaitement Felicity et se hâta de lui montrer en l'enlaçant étroitement !

Les meilleures choses ont hélas une fin et bientôt Sally, qui avait donné l'exemple en revêtant un tailleur classique, pressa gentiment les filles de se rhabiller. Elle allait ramener les plus jeunes, tandis qu'elle hébergerait à l'accoutumée Jane et Molly qui avaient déjà acquis leur indépendance vis à vis de leur famille. Felicity, Kyombele et Sridanjali avec une petite pointe de jalousie vis à vis de leur aînées qui allaient certainement poursuivre leur tendres et sensuels échanges, se hâtèrent de revêtir une tenue plus conforme à celle qu'attendait sans doute leur parents. Elles prirent ensuite, le chemin de la confortable limousine qui servait de véhicule à leur directrice. Kyombele, fut amenée la première à son domicile, suivie par Felicity qui ne résidait pas très loin. Sridanjali fut enfin ramenée au domicile de ses parents.

Sally se contenta de lui adresser un charmant sourire en prenant congé jusqu'au mardi suivant., La toute jeune fille grimpa à l'appartement qui l'accueillait, avec toute sa famille encore toute excitée. Elle prétexta un "thé très copieux" et un après-midi épuisant pour demander la permission d'aller se coucher immédiatement. Celle-ci lui fut accordée sans difficulté. Srdanjali avait hâte de se retrouver seule dans sa chambre avant d'être rejointe par ses sœurs. Elle revêtit la grande chemise de nuit qu'in lui imposait et se glissa entre les draps froids. Bientôt, elle fut réchauffée surtout que des souvenirs de ce délicieux après-midi, venaient sans arrêt l'assaillir. Sa main droite avait glissé naturellement dans sa culotte de coton pour "réconforter" son sexe glabre, encore en émoi perpétuel, tandis que la gauche, parcourait son ventre et ses seins. Elle garda un œil prudent fixé sur la porte, mais s'accorda enfin des caresses plus précises. Elle en avait une énorme envie, pour tenter de prolonger un peu les plaisirs dont elle avait fait la découverte cet après midi.

Depuis lors, les liens entre Sridanjali et sa directrice devinrent plus étroits et plus intimes. La jeune fille laissa un peu de côté sa réserve naturelle et laissa s'épanouir sa sensualité, sous les soins attentifs de Miss Hayworth. Cette dernière avec intelligence et intuition se garda bien de donner des primes à sa jeune protégée comme il lui arrivait de le faire avec d'autres de ses employées. La pauvre enfant aurait reversé à sa famille l'intégralité des sommes comme il lui était imposé de le faire. Au contraire, elle lui achetait des cadeaux (parfums, bijoux etc... ) qu'elle laissait judicieusement à la boutique. Les relations, avec ses collègues se développèrent également de manière satisfaisante.. Jane en particulier ne manquait pas une occasion de combler les rares moment ou Sally, délaissant un peu la brune et ardente jeune fille, s'occupait d'une autre de ses employés. La pulpeuse Molly n'hésitait pas non plus à quitter momentanément les courbes fermes de sa noire amie, pour celle plus délicates mais tout aussi séduisantes de la jeune et toute nouvelle arrivée.

Les clientes du "Paradis de la dentelle" n'avaient en tous cas aucune raison de se plaindre : tout ce ravissant petit monde était avant tout à son service.....

QUELQUES LIENS

FORUM entre femmes

LIRE des histoires érotiques de lesbiennes

VOIR plus de 2000 photos SANS PUB de lesbiennes

VOIR plus de 600 vidéos SANS PUB de lesbiennes

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !

UNE BOUTIQUE fétichiste très BDSM

J'irai bien volontiers visiter ce Paradis de la dentelle
Publicité en cours de chargement